Razak vient de réaliser une performance
bibliographique inédite. En effet, avec la sortie de son dernier livre
intitulé: “Mère Gé face aux tribulations de Père Dé” chez EDLIVRE, le record
maghrébin jamais atteint de quatre ouvrages par an, vient d’être battu de
manière studieuse, honorable et élogieuse. Le dernier livre, rédigé au mois de
juillet 2012 et qui a été classé par l’éditeur parisien dans la collection:
“Classique”, est sorti juste la veille du nouvel an. Il fera date pour la
simple raison que l’auteur, usant d’un style d’écriture inhabituel, y aborde avec
humour et sophisme l’hypothétique fin
des mondes telles qu’elle est imaginées par les Mayas.
D’une passion à l’autre, Razak se déploie
allégrement et ardemment, afin de défaire la monotonie ambiante. Les quatre
derniers mois de l’an 2012 ont été fructueux et porteurs d’espoir. Chronolgie
de parutions:
-«Bouzghiba-Awards, les vertus d’un prix
transculturel» (Edilivre, septembre 2012)
- «ZONA» (Ed. Le Manuscrit,
octobre 2012).
-«Le cinéma indien entre Nirvana et
Navarasas
(Kénitra, novembre 2012).
-“Mère Gé face aux tribulations de
Père Dé” (EDILIVRE, décembre 2012)
Il est à signaler qu’une séance de
dédicace est programmée au prochain salon du livre de Bruxelles (le lundi 11
mars 2013 de 10h à 10h30). Autre nouveauté: le verdict final du Prix
Bouzghiba-2012 (prix que Razak supervise depuis huit ans) sera proclamé dans la
capitale belge, au sein de ce grand salon du livre.
Impressions de Razak :
« C’est un
grand exploit et je me réjouis d’en être l’heureux artisan. Il y a des auteurs
maghrébins qui ont édité deux livres en une année, mais avoir à son actif
quatre en double format papier et électroniques, cela constitue une performance
inédite qui mérite d’être célébrée de belle manière. Ceux qui me connaissent savent que je suis un
homme de défi. Mais à ceux qui me
jalousent ou me haïssent je leur dis: «censurez, nous écrivons». Un long chapitre du livre ci-dessus indiqué a été consacré à ces briseurs d’élan.
Mes ennemis sont le temps et les esprits
rétrogrades. Ma devise est la suivante: « Le travail sérieux et
laborieux finit toujours par payer.
Concernant le
manuscrit du dernier livre intitulé: «Mère Gé face aux tribulations de Père Dé»
les comités de lecture de quatre maisons d’édition européennes ont approuvé le
travail. Mais j’ai choisi EDILIVRE pour
une question de temps. En effet, écrit au mois de juillet 2012 et évoquant la
fameuse prédiction des Mayas au sujet de la fin du monde, le livre devait obligatoirement
sortir avant 2013. L’éditeur a bien choisi le moment: la veille du nouvel an,
c’est-à-dire le 31 décembre 2012 et cela représente une démarche intelligente
de sa part.
Autre événement réjouissant:
le lauréat du Prix Bouzghiba-2012 sera annoncé au pays de Jaques Brel, ce qui
représentera un saut qualitatif non négligeable
et une évolution positive dans le
sens de l’universalité prônée par ce
prix symbolique aux vertus transculturelles. »
Du même auteur :
– « L’Homme sans
ombre »
(Paru dans le journal
Libération, 1991)
– « Au-delà de
l’Artifex, je dis »
(Ed. Maxime, Montréal,
CANADA, 1995)
– Monographie «
Bouzghiba-Awards » (Tome-1)
(Elmoutaki Printer,
Mohammedia, 2008)
– «
Bouzghiba-Awards, les vertus d’un prix transculturel » (Tome-2)
(EDILIVRE, septembre 2012)
– « Zona » (roman
psychologique)
(Ed. Le Manuscrit, octobre
2012)
– « Le cinéma indien entre Nirvana et
Navarasas »
(I.P.S Kénitra, novembre 2012)
-« Mère Gé face
aux tribulations de Père Dé »
(EDILIVRE, décembre
2012)
OEuvres en phase
d’édition :
– « Al Haite » (Le
muret, pièce de théâtre)
– « Le Vidéographe
Justicier » (récit de science-fiction)
– « Boumanjel le
Gaucher » (roman)
– « Fable écologique»
– « Présence des
sens et de l’esprit » (recueil de nouvelles)
– « A
Voix Nue, chroniques cinématographiques »
– «
Ciné-Répliques à méditer »
– «Le
cinéma colonial ou le miroir déformant »
No comments:
Post a Comment