Une bonne
nouvelle pour le FIFM: celui qui, profitant de sa situation, se prenait pour le Grand Manitou
en faisant la pluie et le beau temps vient d’être écarté. Le dit secrétaire a accumulé
beaucoup de fautes qui se sont répercutées négativement sur le fonctionnement
du festival et qui sans l’indulgence et puis la magnanimité de la présidence, elles
lui auraient été fatales. On ne va pas perdre du temps à les énumérer toutes,
mais s’obstiner à ne pas donner suite à un courriel ayant comme objet la dédicace
d’un livre sur le cinéma au chef hiérarchique, qui est une éminente personnalité
de premier ordre est une insubordination de taille.
Comme on
pourrait s’y attendre, les journaleux qui profitaient des largesses du secrétaire
sont maintenant dans l’aigreur. Ils vont surement imputer cette mise à l’écart salutaire
au pouvoir croissant des Français au
sein du FIFM, mais cela aurait besoin d’être prouvé. Ils vont chercher à vanter
ses «mérites» et ses «exploits» par tous
les subterfuges imaginables pour le maintenir au poste, afin que la manne festivalière
les couvre de ses bienfaits, pour l’éternité. A dire vrai, je ne défends aucune
partie étant donné qu’en tant que chroniqueur culturel et écrivain, j’ai souffert
des deux parties et cela depuis la première édition. Ces plumitifs besogneux ont peur que celui ou celle qui va prendre la relève
découvre leur complaisant asservissement et leur mièvrerie pseudo-journalistique.
Le cinéma est affaire de critiques de cinéma.
Enfin, concernant
mon livre sur le cinéma indien, je n’avais souhaité qu’une chose élogieuse: le dédicacer
à ceux que j’aime et montrer à nos chers
hôtes indiens qu’au Maroc, il y a des hommes de culture qui pensent à eux. Dédicacer
à Shah Rukh Khan et Bachchan (comme cela
s’était déjà produit en 2003) un livre sur le cinéma indien, est-ce trop
demander?
RAZAK
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