Wednesday, December 31, 2008
Courriel envoyé à l'ambassade de Chine à Paris
Rabat le 29 décembre 2008
Son Excellence monsieur l'Ambassadeur de Chine à Paris
Objet : Remise du trophée du prix Bouzghiba-2008
au cinéaste chinois ZHANG YIMOU
Le prix international Bouzghiba-2008 est revenu au cinéaste chinois ZHANG YIMOU le metteur en scène chinois qui a supervisé le show inaugural de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Beijing-2008. Ce prix culturel que nous avons lancé en 2005 (voir weblog : http://Bouzghiba-Awards.blogspot.com) prône le dialogue des cultures et des civilisations et aspire à une compréhension claire de la réalité qui nous entoure.
Je suis un artiste marocain et un critique de cinéma, je vis à Rabat (Maroc). Je trouve des difficultés à prendre attache avec ZHANG YIMOU pour lui envoyer le trophée (un tableau de peinture de ma création, acrylique, poids : 2 kilos envions). Le prix Bouzghiba auréole en la personne de ZHANG YIMOU la faculté extraordinaire de marier labeur et joie festive, l’art concis de la mise en scène et l’expressivité exacerbée. Le monde entier en fut témoin et se remémorerait pour longtemps de ce soir du 8 août 2008. Ce fut un hymne retentissant en faveur du jumelage entre le sport et de l’art.
YIMOU est le quatrième lauréat de ce prix. Il succède aux trois premiers lauréats à savoir : la sculpteuse australienne Patricia Piccinini (prix de démystification), les animateurs du programme-TV «C’Est pas Sorcier » (prix de vulgarisation scientifique) et Theo Jansen, le physicien et artiste néerlandais se déclinant du courant le plus influent de l’art cinétique (l’art au service de l’écologie). Un livre monographique a été publié au mois de novembre 2008 pour jeter une lumière sur les Bouzghiba-Awards.
Nous avons adressé à son excellence monsieur l'Ambassadeur de chine à Rabat une demande dans laquelle nous sollicitons son aide afin de remettre le trophée au lauréat. Nous avons (moi et un autre artiste) visité le siège administratif de l’ambassade de Chine à Rabat. Nous avons déposé un dossier complet contenant une demande et une copie du livre précité. Malheureusement, aucune suite ne nous a été donnée à ce jour malgré le rappel par courriel. Craignant que ce retard soit dû à un simple motif linguistique (car le livre et la demande sont rédigés en langue française) d’où le recours à votre honorable institution pour faciliter la médiation et parfaire la noble action entamée.
Veuillez agréer monsieur l'Ambassadeur l'expression de notre estime.
RAZAK
BP: 8813, Rabat-Agdal, MAROC
Tel GSM: 058 902573
Email: abderaz@laposte.net
URL Internet: http://bouzghiba-awards.blogspot.com
http://razak-cinema.blogspot.com
Sunday, December 21, 2008
Zhang Yimou selected to win the BOUZGHIBA TROPHY 2008
The Organisers of Bouzghiba-Awards announce that Zhang Yimou the Chinese maestro of the opening ceremony of the Beijing Olympic Games is selected to win the Bouzghiba Trophy 2008.The initiator of the event is Razak a Moroccan artiste and critic-films. The trophy of this cultural award represents a painting made by Razak.Recently a monographic book was edited in order to make more sense and details about the three first winners (Patricia Piccinini, the animators of program-TV “C’Est pas Sorcier” and Theo Jansen.Razak has written a letter to the Chinese embassy in order to receive the trophy.
Congratulations on your great success dear maestro ZHANG
Congratulations on your great success dear maestro ZHANG
Friday, December 19, 2008
Zhang Yimou le maitre de cérémonie des JO de Pekin remporte le prix international Bouzghiba-2008
Le prix international Bouzghiba-2008 de l’humour est revenu au cinéaste chinois ZHANG YIMOU qui a supervisé avec maestria le show inaugural de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Beijing-2008. YIMOU est le quatrième lauréat de ce prix culturel. Il succède aux trois premiers lauréats à savoir la sculpteuse australienne Patricia Piccinini (prix de démystification) les animateurs du programme-TV «C’Est pas Sorcier » (prix de vulgarisation scientifique et Theo Jansen, le physicien et artiste néerlandais se déclinant du courant le plus influent de l’art cinétique (l’art au service de l’écologie). Un livre monographique a été publié au mois de novembre 2008 pour jeter une lumière sur les Bouzghiba-Awards.
Le prix Bouzghiba-2008 auréole en la personne de ZHANG YIMOU la faculté extraordinaire de marier labeur et joie festive, l’art concis de la mise en scène et l’expressivité exacerbée. Le monde entier en fut témoin et se remémorerait pour longtemps de ce soir du 8 août 2008. Plus de quatorze milles figurants habillés de costumes traditionnels ont été mobilisés par ce metteur en scène perfectionniste jusqu’à l’obsession pour présenter un condensé de cinq mille ans d'histoire chinoise. Le «Nid d’oiseau», une prouesse architecturale conçue par le duo d'architectes suisses Herzog et Meuron, garderait dans ses annales, l’image chatoyante d’une époustouflante festivité. Cette agora féerique fut aussi une des plus cosmopolitiques, puisque plus de 80 chefs d'État et de gouvernement, ainsi que d'autres dignitaires venus des quatre points cardinaux, ont pris part à cette fastueuse cérémonie. Tout obéissait à un calcul millimétré et à une discipline rigoureuse. Le show avait mis en exergue les quatre inventions chinoises à savoir: le papier, les techniques d’estampage calligraphique, la poudre et la boussole. C’est un hymne retentissant en faveur du jumelage du sport et de l’art.
YIMOU est né en 1942 Xian en Chine populaire. Il a vécut une jeunesse très difficile mais qui s’est avérée par la suite très riche en événements fortifiants sur le plan humaniste. Il a dû interrompre ses études à l'âge de 16 ans et fut contraint de faire des travaux agricoles dans une ferme. En 1978, l'institut de cinéma de Pékin lui ouvre des perspectives à la mesure de ses ambitions. Il choisit la section "prises de vue". Le monde de l’image l’éblouissait, mais les travaux durs qu’il avait passés dans ces centres de «rééducation» vont étoffer sa vision cinématographique. En effet, le classique du cinéma chinois Le Sorgho rouge, qui remporta l'Ours d'or au Festival de Berlin en 1998 en témoigne éloquemment. Épouses et concubines, film intimiste eut le Lion d'argent au festival de Venise en 1991 et son film Vivre obtint le Grand Prix du jury au Festival de Cannes-1994. Le prix Bouzghiba de l’humour s’ajoute à son palmarès. Comme à l’accoutumée, Il figurera dans le tome-2 de la monographie relative aux Bouzghiba-Awards.
RAZAK
BP: 8813, Rabat-Agdal, MAROC
Tel GSM: 058 902573
Email: abderaz@laposte.net
URL Internet: http://bouzghiba-awards.blogspot.com
http://razak-cinema-blogspot.com
Saturday, December 13, 2008
Kitab
إصدار مونوغرافيا تتعلق بجائزة بوزغيبة للفن الساخر
للمرة الأولى ووفاء لتعهد سابقأخده على عاتقه الطرف الذي ينظم جائزة الفن الساخر والدعابة ثم في نهاية شهر نونبر الأخير إصدار مؤلف جديد يعرف بالمتوجين الثلاثة الأوائل بهده الجائزة الثقافية ألا وهم الفنانة الاسترالية باتريسيا بيسينيني ومنشطي البرنامح التلفزي سي با سورسيي و الفنان الهلندي تيو جانسن
هده المونوغرافيا تتكون من 128 صفحة وهي من الحجم المتوسط. وتضم مجموعة من المعطيات تتعلق بهؤلاء الفائزين وكدا نبذة عن الفنان والناقد الفني المغربي الذي أبدع الجائزة بالإضافة إلى مقتطفات من الدردشات التي بثها المؤلف في موقعه الالكتروني على شكل حوار بينه وبين الشخصية الهزلية بوزغيبة. ولإبعاد كل لبس عن التسمية وسوء فهم مغلوط يؤكد الفنان صاحب الجائزة أن في الأوساط القروية لمناطق الشاوية ودكالة يطلق اسم بوزغيبة على نبتة سوداء لها شعيرة واحدة غالبا ما توجد في حقول الشعير
انطلقت جائزة بوزغيبة للفكاهة سنة 2005 وتم إحداثها لتتويج القدرات الفردية أو الجماعية التي تتميز بجودة عطائها في مجال فنون الضحك والسخرية . وتشجع كل أشكال التعبير الفني الساخر في المغرب وخارجه وهي عبارة عن لوحة فنية تحمل توقيع الفنان رزاق عبد الرزاق الذي يسهر بتفاني ونكران الذات على تنظيمها
ويأتي هدا الإصدار المونوغرافي أيام قليلة قبل الإعلان النهائي عن الفائز للدورة الرابعة لجائزة بوزغيبة 2008
للتذكير انه في التسعينيات صدر لنفس المؤلف كتاب بالديار الكندية تحت عنوان " بعيدا عن التصنع أقول" . وحضي بتكريم مشرف من طرف المبدعين والنقاد الكنديين
للمزيد من المعرفة والاطلاع المرجو تصفح الموقع الالكتروني
http://bouzghiba-awards.blogspot.com
Monographie Bouzghiba-Awards
Pour la première fois, et comme cela a été promis antérieurement, le tome-1 de la monographie consacrée aux lauréats du prix Bouzghiba de l’humour vient de paraître sous l’intitulé: Bouzghiba-Awards. Ce nouveau titre est l'occasion de faire le point sur les spécificités du prix, sa philosophie et ses objectifs suprêmes.
Avec, ses 128 pages dans lesquelles des images appropriées sont insérées pour illustrer le propos, l’ouvrage jette une lumière sur l’oeuvre des trois premiers gagnants de ce prix culturel initié par un artiste marocain (Patricia Piccinini, les animateurs du programme TV C’Est pas Sorcier et Theo Jansen). L'ouvrage retrace leur carrière avec un clin d’oeil sur l’initiateur du prix et sur son personnage fétiche monsieur Uni-Cheveu. Dans l’introduction l’auteur en rappelle les différentes péripéties et les embûches rencontrées sur le chemin.
«Pour le prix Bouzghiba de l’humour, nous avons choisi, dès son lancement en 2005, la voie épineuse, au lieu des raccourcis fainéantisés menant à l’autoglorification trompeuse, qui ajoute à l’art plus de tares qu’elle n’en retranche. Ne voulant point céder à la facilité, nous voudrions faire l’éloge de l’excellence, loin de tout tapage folklorique et de tout marchandage aliénant. Il y eut quelques petites embûches. Cependant, rien ne nous contraint d’interrompre l’aventure au milieu du chemin (...) Notre grand dessein: faire de Bouzghiba et de son prix un déclic à la réflexion, au défoulement et à l’exacerbation de la volonté de bâtir. En effet, nous ne cachons pas que nous militions pour la création au Maroc de deux musées, l’un d’une thématique sérieuse puisque cela concerne l’eau, l’autre à caractère ludique: le musée du peigne. »
L’auteur donne à lire un manifeste mettant en exergue la composante humoristique et son importance dans l’évolution sociétale. C’est dans un véritable corps à corps avec la réalité ambiante que l’auteur s’est mis à l’ouvrage avec un tempérament combatif, nourri d'un engagement constant pour les valeurs culturelles pérennes et d'une vision du monde à la fois généreuse et intransigeante.
Avec, ses 128 pages dans lesquelles des images appropriées sont insérées pour illustrer le propos, l’ouvrage jette une lumière sur l’oeuvre des trois premiers gagnants de ce prix culturel initié par un artiste marocain (Patricia Piccinini, les animateurs du programme TV C’Est pas Sorcier et Theo Jansen). L'ouvrage retrace leur carrière avec un clin d’oeil sur l’initiateur du prix et sur son personnage fétiche monsieur Uni-Cheveu. Dans l’introduction l’auteur en rappelle les différentes péripéties et les embûches rencontrées sur le chemin.
«Pour le prix Bouzghiba de l’humour, nous avons choisi, dès son lancement en 2005, la voie épineuse, au lieu des raccourcis fainéantisés menant à l’autoglorification trompeuse, qui ajoute à l’art plus de tares qu’elle n’en retranche. Ne voulant point céder à la facilité, nous voudrions faire l’éloge de l’excellence, loin de tout tapage folklorique et de tout marchandage aliénant. Il y eut quelques petites embûches. Cependant, rien ne nous contraint d’interrompre l’aventure au milieu du chemin (...) Notre grand dessein: faire de Bouzghiba et de son prix un déclic à la réflexion, au défoulement et à l’exacerbation de la volonté de bâtir. En effet, nous ne cachons pas que nous militions pour la création au Maroc de deux musées, l’un d’une thématique sérieuse puisque cela concerne l’eau, l’autre à caractère ludique: le musée du peigne. »
L’auteur donne à lire un manifeste mettant en exergue la composante humoristique et son importance dans l’évolution sociétale. C’est dans un véritable corps à corps avec la réalité ambiante que l’auteur s’est mis à l’ouvrage avec un tempérament combatif, nourri d'un engagement constant pour les valeurs culturelles pérennes et d'une vision du monde à la fois généreuse et intransigeante.
Friday, December 05, 2008
Parution de la monographie sur les Bouzghiba- Awards
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