Wednesday, January 16, 2013

Tramway-Art: une plateforme de valorisation artistique et culturelle en faveur de Casablanca


 

Mercredi 16 janvier 2013, à 17 h 40 mn on a été reçus par Chada TAIB responsable de la communication au sein de Casa-TRANSPORT, le maitre d'ouvrage du tramway de Casablanca. L'objet de la visite: proposition d'un projet socioculturel intitulé:Tramway-Art. En voici par ailleurs la fiche technique:


1-Présentation

Le 12/12/2012 restera une date importante pour le transport en commun de la ville de Casablanca puisqu’en ce jour a eu lieu  le lancement du tramway tant attendu. Parmi les dizaines de milliers de Casablancais qu’il va déplacer d’un coin à l’autre, il y aura des artistes de toutes les disciplines: des acteurs et actrices, des peintres, des réalisateurs, des architectes, des photographes d’art, des écrivains, des dramaturges...
Ainsi pour joindre l’utile à l’agréable, nous proposons une plateforme de créativité en deux variantes (livresque et audiovisuelle), dans le but de célébrer avec grand apparat cet événement qui vaut son pesant d’or et mettre en exergue les potentialités artistiques que recèle cette ville qui a été toujours à l’avant-garde.

2-Initiateurs du projet :

- Benthami Khammar Essafi (photographe d’art)
-Razak (initiateur du Prix International de l’Humour, écrivain auteur de plusieurs livres parus en France et au Canada, critique de cinéma)

2-Mode opératoire

Cela consiste à effectuer une série  d’entretiens avec des vedettes casablancaises  d’horizons et disciplines diverses, sélectionnées à titre représentatif et honorifique (on choisira une  par discipline pour éviter l’encombrement et le sureffectif).
Assis à l’intérieur du Tram, ces invités  interviewés évoqueront, à tour de rôle,  leurs beaux souvenir avec leur ville ainsi que les moments décisifs de leur carrière personnelle.

-Variante audiovisuelle: Cela nécessite trois caméras et le plan de filmage intérieur-tram  est bien étudié pour laisser transparaître à travers les vitres du compartiment les joyaux architecturaux des quartiers à traverser. Pour éviter la monotonie et la redondance, l’on prendra avec chaque invité un itinéraire bien défini.

-Variante livresque: le livre à réaliser comportera en plus des chroniques écrites par Razak sur l’artiste en question et les photos prises sur le vif par Essafi, les propos recueillis auprès de l’artiste.   

Cordonnées:
Essafi                                                                         Razak
BP: 13163 Casablanca-Principal                               BP: 8813, Rabat-Agdal 
GSM: 0665830085                                                     GSM : 0672538512
EMAIL: kessafi5@yahoo.fr                                        abderaz@laposte.net

Article du journal Libération

Article du journal Libération (édition papier et édition électronique) du vendredi 11 janvier 2013

Tuesday, January 08, 2013

L’émission Camera al Oula de la SNRT (Maroc) reçoit le critique de cinéma Razak.

L’émission Camera al Oula de la SNRT (Maroc) reçoit le critique de cinéma  Razak. Ce dernier présente son  livre  intitulé: Le cinéma indien entre Niravana et Navarasas 
Date et horaire de diffusion: Mardi  8 janvier 2013  à 22h 45 mn

Thursday, January 03, 2013

QUATRE LIVRES DE RAZAK EN UNE ANNEE ET UNE SEANCE DE DIDICACE PROGRAMMEE AU SALON DU LIVRE DE BRUXELLES


Razak vient de réaliser une performance bibliographique inédite. En effet, avec la sortie de son dernier livre intitulé: “Mère Gé face aux tribulations de Père Dé” chez EDLIVRE, le record maghrébin jamais atteint de quatre ouvrages par an, vient d’être battu de manière studieuse, honorable et élogieuse. Le dernier livre, rédigé au mois de juillet 2012 et qui a été classé par l’éditeur parisien dans la collection: “Classique”, est sorti juste la veille du nouvel an. Il fera date pour la simple raison que l’auteur, usant d’un style d’écriture inhabituel, y aborde avec humour et sophisme  l’hypothétique fin des mondes telles qu’elle est imaginées par les Mayas.
D’une passion à l’autre, Razak se déploie allégrement et ardemment, afin de défaire la monotonie ambiante. Les quatre derniers mois de l’an 2012 ont été fructueux et porteurs d’espoir. Chronolgie de parutions:
-«Bouzghiba-Awards, les vertus d’un prix transculturel» (Edilivre, septembre 2012)
- «ZONA» (Ed. Le Manuscrit, octobre 2012).
-«Le cinéma indien entre Nirvana et Navarasas (Kénitra, novembre 2012).
-“Mère Gé face aux tribulations de Père Dé” (EDILIVRE, décembre 2012)
Il est à signaler qu’une séance de dédicace est programmée au prochain salon du livre de Bruxelles (le lundi 11 mars 2013 de 10h à 10h30). Autre nouveauté: le verdict final du Prix Bouzghiba-2012 (prix que Razak supervise depuis huit ans) sera proclamé dans la capitale belge, au sein de ce grand salon du livre. 
 
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Impressions de Razak :
« C’est un grand exploit et je me réjouis d’en être l’heureux artisan. Il y a des auteurs maghrébins qui ont édité deux livres en une année, mais avoir à son actif quatre en double format papier et électroniques, cela constitue une performance inédite qui mérite d’être célébrée de belle manière.  Ceux qui me connaissent savent que je suis un homme  de défi. Mais à ceux qui me jalousent ou me haïssent je leur dis: «censurez, nous écrivons».  Un long chapitre du livre ci-dessus  indiqué a été consacré à ces briseurs d’élan. Mes ennemis sont  le temps et les esprits rétrogrades. Ma devise est la suivante: « Le travail sérieux et laborieux finit toujours par payer.
Concernant le manuscrit du dernier livre intitulé: «Mère Gé face aux tribulations de Père Dé» les comités de lecture de quatre maisons d’édition européennes ont approuvé le travail. Mais j’ai choisi EDILIVRE  pour une question de temps. En effet, écrit au mois de juillet 2012 et évoquant la fameuse prédiction des Mayas au sujet de la fin du monde, le livre devait obligatoirement sortir avant 2013. L’éditeur a bien choisi le moment: la veille du nouvel an, c’est-à-dire le 31 décembre 2012 et cela représente une démarche intelligente de sa part.
Autre événement réjouissant: le lauréat du Prix Bouzghiba-2012 sera annoncé au pays de Jaques Brel, ce qui représentera un saut  qualitatif non négligeable et une évolution positive  dans le sens  de l’universalité prônée par ce prix symbolique aux vertus transculturelles. »
      


Du même auteur :

« L’Homme sans ombre »
(Paru dans le journal Libération, 1991)
« Au-delà de l’Artifex, je dis »
(Ed. Maxime, Montréal, CANADA, 1995)
Monographie « Bouzghiba-Awards » (Tome-1)
(Elmoutaki Printer, Mohammedia, 2008)
« Bouzghiba-Awards, les vertus d’un prix transculturel » (Tome-2)
(EDILIVRE, septembre 2012)
« Zona » (roman psychologique)
(Ed. Le Manuscrit, octobre 2012)
– « Le cinéma indien entre Nirvana et Navarasas »
(I.P.S  Kénitra, novembre 2012)
-« Mère Gé face aux tribulations de Père Dé »
(EDILIVRE, décembre 2012)

OEuvres en phase d’édition :
« Al Haite » (Le muret, pièce de théâtre)
« Le Vidéographe Justicier » (récit de science-fiction)
« Boumanjel le Gaucher » (roman)
« Fable écologique»  
« Présence des sens et de l’esprit » (recueil de nouvelles)
« A Voix Nue, chroniques cinématographiques »
« Ciné-Répliques à méditer »
«Le cinéma colonial ou le miroir déformant »