Tuesday, February 28, 2023

Fibonacci en vogue par RAZAK

 


Sur le chemin de la connaissance, nous avons beaucoup à apprendre. Ce qui est proche parait si lointain. Et ce qui est proche impose à la science un entrelac enchevêtré de suppositions académiques qu’on appelle théories et concepts  hypothétiques. Aux siècles des lumières qui ont succédé à la fameuse Renaissance, tant d’obscurités restent à éclairer, tant d’énigmes à éclaircir. L’approximatif surplombe le palpable, le fictionnel  domine le factuel,  le concret s’évanouit dans le brouillard des énoncés et des présuppositions ; et puis quand tout le monde baisse les bras, dans l’incapacité d’aller de l’avant,  le culturel basé sur des convictions déterministes fait recours  au cultuel, où l’ésotérisme, dans toutes ses facétieuses ramifications, fleurit. La science devient alors scientisme et les labos deviennent foyers de sorciers alchimistes. Les illuminati imposent  leur loi. Avec ou sans Tesla, avec ou sans Elon Musk, ce richard fou d’espace et de Tesla, le 21 siècle raffermit le règne de l’ondulatoire, après l’apogée du binaire. Mais malgré les avancées dans le domaine magnétique, on n’est pas au bout des recoins sombres qui jalonnent la voie de la certitude. Sous nos pieds, les strates continuent à nous jouer des tours sismiques, avec incapacité totale de prévenir leur moment de danse. Une danse macabre, finissant dramatiquement en requiem. Le stylet du sismographe ne fait qu’enregistrer la cadence mortuaire. La croûte terrestre avec ses blocs de silex et de granite suit la cadence, comme une feuille qu’agite le vent. Le trou le plus profond n’a pas  dépassé 12,262 kilomètres, mais au-delà, c’est la hantise qui s’érige en fantômes et démons gardiens des abysses. Pourquoi les Soviétiques s’étaient-ils  arrêtés à cette profondeur ? Eux qui savaient doctement que ’’ plus on avance, plus il y a des choses à découvrir’’ ; et ’’qu’un pas en arrière vaut deux pas en avant’’.

Quand les physiciens s’apprêtent à jouir du repos du guerrier, après une trouvaille qui plait au gotha, sans forcément plaire aux petites gens, quelque chose  d’insoluble leur dit : « réveillez-vous, ce n’est pas le moment de somnoler».

Tout est perpétuellement remis en question, dans un sempiternel étourdissement. Même Einstein vient d’être contredit dans son obsessionnelle relativité. Tant de vérités ébranlées, tant de certitudes traversées par le doute. Devant l’impasse, on se met à regarder en arrière. On contemple les vestiges archéologiques des civilisations éteintes. On parle des Sumériens et de leurs divinités venues de l’espace. On glorifie les Annunakis dont Enki et Enlil sont les plus puissants. Comme par nostalgie pour une ère révolue, on fait l’apologie des prouesses révélées par l’écriture cunéiforme.

Non loin de Mésopotamie, on s’ébahit de  voir d’un air presque enfantin, les pyramides en se demandant comment elles ont été érigées. On retourne aux Incas du Pérou que les experts en maçonnerie considèrent comme  pionniers en architecture antisismique, pour vanter leur maitrise inégalée en  manutention. On s’extasie devant les colosses rocheux de l’Ile de pâque et leur alignement géo-planétaire, par rapport aux pyramides égyptiens.

Dans sa dynamique intrinsèque, la science suit le mouvement du flux marin : à marrée haute  elle s’enrichit, à marrée basse elle s’appauvrit. Ce qui reste de toutes ces cavalcades en terres inconnues, c’est le jargon, qui reste coincé dans le creux de l’oreille. Avec leur foisonnante nomenclature les savants s’érigent en de véritables maîtres-baptiseurs, mais les philosophes, en irréductibles objecteurs de conscience , leur servent de correcteurs et de gendarmes. Parmi les sobriquets langagiers dont on parle à profusion ces derniers temps, le mot ’’charme’’,  introduit dans la  physique corpusculaire laisse pantois. Quel charme peut-il y avoir dans un accélérateur-collisionneur  de particules,  mis en marche par les actionneurs sponsorisés du CERN , dont les visées ne sont pas loin du HAARP ?        

Résumons : les physiciens les plus aguerris et mathématiciens les plus calés savent qu’il existe des équations insolubles. Cependant, Fibonacci, avec sa suite magique est parvenu à des merveilles,  en partant presque de rien. L’allure de progression de sa suite numérique domine le monde végétal et le monde animal. Même la structure cellulaire humaine, dans ses infimes détails chromosomiques laisse transparaitre les mêmes proportions. Bien qu’il corresponde à un rapport indéfini, ayant une infinité de chiffres derrière la virgule, le nombre d’or est omniprésent dans la nature. De l’infiniment petit à infiniment grand,  on trouve sa trace. Certains lui vouent un caractère sacré, puisqu’il est au cœur de la création.  Comme la géométrie est le champ propice où il se déploie allégrement,  on parle alors  de carré d’or, de triangle d’or , de cercle d’or et même d’ellipse d’or. Symbolisé par la lettre grecque φ (Phi), il correspond à un  nombre irrationnel tout comme π (Pi),   le fameux nombre qu’on trouve dans divers calculs mathématiques. Il est indispensable pour  le calcul des surfaces circulaires et des volumes sphériques. φ  et π  gouvernent le monde. D’ailleurs, on les trouve réunis dans l’équation suivante : coudée + mètre + φ  = π . Le nombre d’or de Fibonacci a plus de prestance et de préciosité. En effet ,  si Pi est pour la rigueur du tracé géométrique, Phi participe non seulement à l’harmonie de l’univers, mais aussi à son  esthétique. Inspiré par les algébristes arabes, Fibonacci fascinait et fascine toujours. Il continuera d’avoir de l’aura, indépendamment du temps et de l’espace, car  le ratio doré qu’il a mis en lumière se trouve au cœur de  l’Evolution.

Friday, February 17, 2023

Web-Chronique de Razak

Mère Gé en colère et 

Dame Nature sur le pied de guerre. 

Web-Chronique de Razak.

 Avant d’entrer dans le vif du sujet, pour en sortir avec une plus-value cognitive constructive, précisons tout d’abord, le lien de consanguinité entre ces deux protagonistes géo-planétaires : la nature est la tutrice de la terre. Par conséquent, ce qui affecte l’une touche inéluctablement l’autre. Mais qui les ont provoquées ? Qui les ont mises en furie pour qu’elles se déchaînent, les armes offensives toutes déployées, dans un cycle infernal de vengeances et dans une avalanche de ripostes très peu espacées : des séismes de fortes magnitudes secouent la croute terrestre, en faisant craquer tout ce qui se tient solidement debout , des tempêtes de neige vitrifiant le sang dans les veines des animaux , en transformant les villes en musées de glace , des cascades qui, autrefois charmaient le regard des visiteurs, se sont métamorphosées en stalactites et stalagmites, que l’on ne voyait habituellement que dans les grottes et les cavernes , des ouragans apocalyptiques, des inondations dévastatrices succédant aux sécheresses endémiques, transformant les rivières en vallons de pierrailles sédimentaires, bref , trous les signes éloquents d’un catastrophisme prémédité et attendu ; et puis, ce ne sont pas les bêtes des forêts et les animaux marins qui ont précipité l’affront , par l’outrage bestial et irrévérencieux , mais les humains que l’arrogante frivolité pousse au défi , aux joutes verbales, aux collisions et aux expériences folles . Déjà entre eux, ils ne s’entendent pas bien, alors comment vont-ils respecter une tierce partie qui a l’air d’être muette. A cause de leurs bidouillages répétitifs, les écosystèmes perdent leurs attributs naturels. Le braconnage et l’abattage des espèces mammifères participent au dépeuplement de la faune sauvage. Le trucage génétique mettant en cause les OGM, c’est-à-dire les organismes génétiquement modifiés, complète la panoplie des dérapages. Le comble de l’insolence, c’est de jeter l’opprobre sur une bonne samaritaine qui donne plus que ce qu’elle reçoit. La nature en est une des plus généreuses. Pour notre part, nous la vénérons parce qu’elle le mérite. Ainsi, usant de tous les dons qu’elle nous a donnés et révérencieux envers cette source nourricière, nous lui rendons hommage. Nous aimons celle qui fait pousser des coquelicots éclatant de rougeur, au milieu des cailloux grisâtres et qui ajoute une teinte turquoise au corail sous-marin. Celle qui dessine de jolis arcs-en-ciel après les pluies et qui fait scintiller les étoiles à des milliers de kilomètres de nous. Celle qui incite les abeilles à doubler de labeur, pour que le miel soit pur et onctueux et puis qui fait d’une greffe une luxuriante forêt. Celle qui improvise admirablement et qui supervise dans la candeur et la gaité. Dans notre programme culturel présenté sous le label ’’La Nature a du talent. Figuration rocheuse’’ ; et telles des fées du bonheur, les deux bonnes samaritaines nous épaulent en nous guidant vers le meilleur de ce qu’on peut être. La prosaïque métaphore nous autorise à reconnaitre la stimulation qu’elles nous inculquent : Mère Gé tient le chevalet fait de roches, tandis que Dame Nature dessine des paysages insolites. L’érosion est son pinceau de prédilection et l’oxydation est son encre magique. Tous les styles de peinture sont siens. Nous nous inspirons de ses chefs-d’œuvre imagés ou l’agencement du quartz , du feldspath et des autres silices cristallines leur confère un aspect pérenne, traversant les siècles. L’esthétique géologique qui en résulte est elle aussi, vouée à l’intemporelle continuité. La nature fait parler les roches. Les paléontologues savent de quoi on parle. Les ammonites et les trilobites servent à la datation. Ces vestiges d’une ère révolue donnent des certificats de naissance aux roches. Qu’elles soient magmatiques, sédimentaires ou métamorphiques, les roches parlent , mais n’aiment pas le bavardage. La genèse du monde s’y dessine. De l’autre côté de la palette, nous respectons la nature combative, celle qui défend son terroir et ce qui lui appartient. Jalouse de ses secrets, elle ne laisse personne piétiner et détruire ce qu’elle a construit. Mais avec les reptiles à visage humain, le seul moyen de les convaincre, c’est le rouleau compresseurs-aplatisseur. Les plus farouches de ces trublions malintentionnés sont ceux qui, ivres de pouvoir, agissent sans penser aux conséquences. La dernière trouvaille de cette horde de perturbateurs est le système HAARP, un sobriquet mystérieux qui rassemble les initiales : High Frenquency Active Auroral Research Project, excusez du peu. Ce sont des militaires américins qui chapeautent le projet. Les plus zélés de ces bidasses expansionnistes veulent passer à la vitesse supérieure, en faisant de ce puissant générateur d’ondes électromagnétiques un canon de guerre. Il semble que la révolution de 1787 n’a donné que des sanguinaires au lieu d’un Etat magnifique où trône la liberté ; et où tous les peuples opprimés de la terre peuvent vivre en toute quiétude. Premières cibles visées : l’ionosphère et les aurores boréales, c’est-à-dire une des merveilles de la nature. Comme ils sont experts en camouflage, ils diront autre chose que ce qu’ils ont l’intention de faire. Cela fait partie des arcanes militaires. La guerre météorologique et la guerre géologique ne sont pas de la science-fiction. Réorienter ce canon à ondes vers les zones atmosphériques choisies et vers les portions lithosphériques vulnérables, comme les failles et les frontières des plaques tectoniques, pourrait provoquer des dégâts incommensurables. Tout dépend de l’énergie qu’on y injecte. Cette frivole guerre des ondes, fomentée à un moment crucial où des législateurs malavisés cherchent à légaliser le commerce des farines mélangées, avec des insectes laisse présager le pire. 

 Bon courage Mère Gé. Tiens bon. Si le diabolique canon électromagnétique touche le noyau, ce sera la fin des mondes. Les matières radioactives enfouies dans le sous-sol lui serviront de mèche et de combustible atomique. L’implosion sera inévitable. Ainsi, comme on l’a mentionné dans la dernière web-chronicle , rédigée en anglais et postée dans la deuxième chaine youtube Art Total : « l’homme a conquis l’espace, mais il ne sait pas ce qu’il y a sous ses pieds, c’est-à-dire les profondeurs du sous-sol, allant du manteau visqueux au noyau de la terre. Enfin doit-on craindre la chutes des astéroïdes  venant de l’espace ou la bombe atomique dont nous piétinons chaque jour le couvercle ? *

RAZAK 

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