Mère Gé en colère et
Dame Nature sur le pied de guerre.
Web-Chronique de Razak.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, pour en sortir avec une plus-value cognitive constructive, précisons tout d’abord, le lien de consanguinité entre ces deux protagonistes géo-planétaires : la nature est la tutrice de la terre. Par conséquent, ce qui affecte l’une touche inéluctablement l’autre. Mais qui les ont provoquées ? Qui les ont mises en furie pour qu’elles se déchaînent, les armes offensives toutes déployées, dans un cycle infernal de vengeances et dans une avalanche de ripostes très peu espacées : des séismes de fortes magnitudes secouent la croute terrestre, en faisant craquer tout ce qui se tient solidement debout , des tempêtes de neige vitrifiant le sang dans les veines des animaux , en transformant les villes en musées de glace , des cascades qui, autrefois charmaient le regard des visiteurs, se sont métamorphosées en stalactites et stalagmites, que l’on ne voyait habituellement que dans les grottes et les cavernes , des ouragans apocalyptiques, des inondations dévastatrices succédant aux sécheresses endémiques, transformant les rivières en vallons de pierrailles sédimentaires, bref , trous les signes éloquents d’un catastrophisme prémédité et attendu ; et puis, ce ne sont pas les bêtes des forêts et les animaux marins qui ont précipité l’affront , par l’outrage bestial et irrévérencieux , mais les humains que l’arrogante frivolité pousse au défi , aux joutes verbales, aux collisions et aux expériences folles . Déjà entre eux, ils ne s’entendent pas bien, alors comment vont-ils respecter une tierce partie qui a l’air d’être muette. A cause de leurs bidouillages répétitifs, les écosystèmes perdent leurs attributs naturels. Le braconnage et l’abattage des espèces mammifères participent au dépeuplement de la faune sauvage. Le trucage génétique mettant en cause les OGM, c’est-à-dire les organismes génétiquement modifiés, complète la panoplie des dérapages. Le comble de l’insolence, c’est de jeter l’opprobre sur une bonne samaritaine qui donne plus que ce qu’elle reçoit. La nature en est une des plus généreuses. Pour notre part, nous la vénérons parce qu’elle le mérite. Ainsi, usant de tous les dons qu’elle nous a donnés et révérencieux envers cette source nourricière, nous lui rendons hommage. Nous aimons celle qui fait pousser des coquelicots éclatant de rougeur, au milieu des cailloux grisâtres et qui ajoute une teinte turquoise au corail sous-marin. Celle qui dessine de jolis arcs-en-ciel après les pluies et qui fait scintiller les étoiles à des milliers de kilomètres de nous. Celle qui incite les abeilles à doubler de labeur, pour que le miel soit pur et onctueux et puis qui fait d’une greffe une luxuriante forêt. Celle qui improvise admirablement et qui supervise dans la candeur et la gaité. Dans notre programme culturel présenté sous le label ’’La Nature a du talent. Figuration rocheuse’’ ; et telles des fées du bonheur, les deux bonnes samaritaines nous épaulent en nous guidant vers le meilleur de ce qu’on peut être. La prosaïque métaphore nous autorise à reconnaitre la stimulation qu’elles nous inculquent : Mère Gé tient le chevalet fait de roches, tandis que Dame Nature dessine des paysages insolites. L’érosion est son pinceau de prédilection et l’oxydation est son encre magique. Tous les styles de peinture sont siens. Nous nous inspirons de ses chefs-d’œuvre imagés ou l’agencement du quartz , du feldspath et des autres silices cristallines leur confère un aspect pérenne, traversant les siècles. L’esthétique géologique qui en résulte est elle aussi, vouée à l’intemporelle continuité. La nature fait parler les roches. Les paléontologues savent de quoi on parle. Les ammonites et les trilobites servent à la datation. Ces vestiges d’une ère révolue donnent des certificats de naissance aux roches. Qu’elles soient magmatiques, sédimentaires ou métamorphiques, les roches parlent , mais n’aiment pas le bavardage. La genèse du monde s’y dessine. De l’autre côté de la palette, nous respectons la nature combative, celle qui défend son terroir et ce qui lui appartient. Jalouse de ses secrets, elle ne laisse personne piétiner et détruire ce qu’elle a construit. Mais avec les reptiles à visage humain, le seul moyen de les convaincre, c’est le rouleau compresseurs-aplatisseur. Les plus farouches de ces trublions malintentionnés sont ceux qui, ivres de pouvoir, agissent sans penser aux conséquences. La dernière trouvaille de cette horde de perturbateurs est le système HAARP, un sobriquet mystérieux qui rassemble les initiales : High Frenquency Active Auroral Research Project, excusez du peu. Ce sont des militaires américins qui chapeautent le projet. Les plus zélés de ces bidasses expansionnistes veulent passer à la vitesse supérieure, en faisant de ce puissant générateur d’ondes électromagnétiques un canon de guerre. Il semble que la révolution de 1787 n’a donné que des sanguinaires au lieu d’un Etat magnifique où trône la liberté ; et où tous les peuples opprimés de la terre peuvent vivre en toute quiétude. Premières cibles visées : l’ionosphère et les aurores boréales, c’est-à-dire une des merveilles de la nature. Comme ils sont experts en camouflage, ils diront autre chose que ce qu’ils ont l’intention de faire. Cela fait partie des arcanes militaires. La guerre météorologique et la guerre géologique ne sont pas de la science-fiction. Réorienter ce canon à ondes vers les zones atmosphériques choisies et vers les portions lithosphériques vulnérables, comme les failles et les frontières des plaques tectoniques, pourrait provoquer des dégâts incommensurables. Tout dépend de l’énergie qu’on y injecte. Cette frivole guerre des ondes, fomentée à un moment crucial où des législateurs malavisés cherchent à légaliser le commerce des farines mélangées, avec des insectes laisse présager le pire.
Bon courage Mère Gé. Tiens bon. Si le diabolique canon électromagnétique touche le noyau, ce sera la fin des mondes. Les matières radioactives enfouies dans le sous-sol lui serviront de mèche et de combustible atomique. L’implosion sera inévitable. Ainsi, comme on l’a mentionné dans la dernière web-chronicle , rédigée en anglais et postée dans la deuxième chaine youtube Art Total : « l’homme a conquis l’espace, mais il ne sait pas ce qu’il y a sous ses pieds, c’est-à-dire les profondeurs du sous-sol, allant du manteau visqueux au noyau de la terre. Enfin doit-on craindre la chutes des astéroïdes venant de l’espace ou la bombe atomique dont nous piétinons chaque jour le couvercle ? *
RAZAK
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