Rubina Ali l’héroïne de Slumdog Millionaire se dévoile dans un livre autobiographique
 Cela pourrait paraître  comique à première ouïe : une gosse de 9 ans participant pour la première fois dans un film décide d’écrire ses mémoires de star. Même John Wayne qui avait usé ses bottes sur les terrains vagues du Nevada et sur les berges rocailleuses du Colorado n’y avait pas pensé. Mais ce n’est  ni une boutade ni un canular. Rubina Ali la petite fille indienne qui incarnait Latika dans le film Slumdog Millionaire de Danny Boyle est l’auteur en herbe dont il s’agit. Ainsi, profitant de sa célébrité suite aux 8 oscars  remportés par le film,  elle va relater les mutations d’une   bidonvilloise laissée pour compte à la starlette qu’elle est devenue. Cette biographie, intitulée “Slumdog Dreaming: My Journey to the Stars”  serait, si tout va bien, dans les kiosques anglo-saxons d’ici fin juillet  2009. L’éditeur, (Transworld) parle sérieux  et attend beaucoup de cet événement bibliophilique. Reste à savoir si le chapitre relatif  aux démarches sordides que son père Rafiq Qureshi aurait entreprises sous la contrainte de la misère  pour vendre son enfant serait abordé.  Cette scandaleuse histoire a été révélée par  News of The World. Mais Rafiq, approché par les journalistes de  Times of India, nia le fait. Par ailleurs, il déclara n’avoir rien touché du tournage malgré que Boyle affirme avoir versé de   l'argent à une fondation pour s’occuper de la petite fille. Le ménage risque de voler aux éclats  car la mère de la novice avait déposé une plainte et la police de Mumbay procéda à l’arrestation de  Rafiq. Mais on apprend qu’il fut innocenté pour manque de preuve matérielle. S’agit- d’un coup de  théâtre ? Quoiqu’en dise le geste salutaire du  réalisateur Danny Boyle qui, pour oublier ces déboires, avait pensé à l’avenir de Rubina  en mettant  à sa disposition  une assistante  sociale et promettant de lui octroyer une bourse jusqu'à l’âge de la majorité. Pas la peine de faire appel à Pierre  Bellemare pour démêler l'écheveau. Une question : Pourquoi  Rafiq Qureshi s’est-il rétracté après avoir avoué au journaliste qui le pigeait son intention de vendre sa fille?
 Cela pourrait paraître  comique à première ouïe : une gosse de 9 ans participant pour la première fois dans un film décide d’écrire ses mémoires de star. Même John Wayne qui avait usé ses bottes sur les terrains vagues du Nevada et sur les berges rocailleuses du Colorado n’y avait pas pensé. Mais ce n’est  ni une boutade ni un canular. Rubina Ali la petite fille indienne qui incarnait Latika dans le film Slumdog Millionaire de Danny Boyle est l’auteur en herbe dont il s’agit. Ainsi, profitant de sa célébrité suite aux 8 oscars  remportés par le film,  elle va relater les mutations d’une   bidonvilloise laissée pour compte à la starlette qu’elle est devenue. Cette biographie, intitulée “Slumdog Dreaming: My Journey to the Stars”  serait, si tout va bien, dans les kiosques anglo-saxons d’ici fin juillet  2009. L’éditeur, (Transworld) parle sérieux  et attend beaucoup de cet événement bibliophilique. Reste à savoir si le chapitre relatif  aux démarches sordides que son père Rafiq Qureshi aurait entreprises sous la contrainte de la misère  pour vendre son enfant serait abordé.  Cette scandaleuse histoire a été révélée par  News of The World. Mais Rafiq, approché par les journalistes de  Times of India, nia le fait. Par ailleurs, il déclara n’avoir rien touché du tournage malgré que Boyle affirme avoir versé de   l'argent à une fondation pour s’occuper de la petite fille. Le ménage risque de voler aux éclats  car la mère de la novice avait déposé une plainte et la police de Mumbay procéda à l’arrestation de  Rafiq. Mais on apprend qu’il fut innocenté pour manque de preuve matérielle. S’agit- d’un coup de  théâtre ? Quoiqu’en dise le geste salutaire du  réalisateur Danny Boyle qui, pour oublier ces déboires, avait pensé à l’avenir de Rubina  en mettant  à sa disposition  une assistante  sociale et promettant de lui octroyer une bourse jusqu'à l’âge de la majorité. Pas la peine de faire appel à Pierre  Bellemare pour démêler l'écheveau. Une question : Pourquoi  Rafiq Qureshi s’est-il rétracté après avoir avoué au journaliste qui le pigeait son intention de vendre sa fille?
Moralement, il aurait mieux  valu ainsi car un père incarcéré à cause de sa fille  ferait de cette dernière  un être culpabilisé et auto-persécuté, à force de se répéter: « C’est à  cause de moi que mon père a été emprisonné».
Je ne sais pas ce qu’en pensent les ambassadeurs  UNICEF de bonne volonté  avec à leur tête la mégastar Amitabh Bachchan ?
RAZAK
 
 
 
          
      
 
  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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