Monday, December 26, 2022

              COMMUNIQUE  * L’acteur africain Djimon Hounsou remporte 18e Prix International de l’Humour

 

           


                                    COMMUNIQUE                                                                                         

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L’acteur africain  Djimon Hounsou  

remporte  18e  Prix  International de l’Humour

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Conformément aux critères de sélection et d’octroi, en vigueur depuis 2005, l’année où le Prix International de l’Humour (alias Bouzghiba-Awards)  a été fondé par  l’artiste marocain Razak, l’acteur africain Djimon Hounsou remporte le 18e trophée de ce prix transculturel, se distinguant des autres prix lucratifs, par ses deux caractéristiques fondamentales: picturale (le trophée est représenté par un tableau de peinture) et bibliographique (édition de livres d’apologie sur les lauréats, trois tomes monographiques  ont été publiés sous le même label, dont un en France).

Djimon Hounsou est né en 1964 à Cotonou au Bénin. Il quitte très tôt son pays natal pour aller en France. A Lyon, il s’installe chez ses frères, mais il rate ses études.

A Paris, nouvelle destination, il vagabonda comme un clochard SDF, jusqu’à ce jour miraculeux où un photographe collaborant avec le couturier Thierry Mugler le remarqua. Le célèbre designer  lui donna l’opportunité inespérée de devenir mannequin. Or entre l’univers de la mode et le cinéma il y a des passerelles insoupçonnées. C’est à Hollywood que le grand rêve se réalisa. La date 1990 restera ancrée dans la mémoire de l’ex-galérien de l’espace urbain. Avec sa carrure d’athlète et sa haute taille, il trouva le chemin presque  tout tracé.

Après un premier rôle dans ’’ Without You I’m Nothing’’,  Spielberg lui donna un rôle sur mesure, qui alla le propulser au firmament des stars. ’’ Amistad’’ lui ouvrit les portes de la célébrité.  Ridley Scott en avait fait un gladiateur dans son blockbuster et pour le film contestataire ’’Blood Diamond’’ d’Edouratd Zwick, il eut une nomination aux Oscars 2007,  en tant que Meilleur Second-rôle.

Ainsi, du bohémien sans le moindre sou à l’acteur hollywoodien fortuné,  cela ressemble à un conte de fée. Compte tenu des obstacles dont souffrent les  acteurs africains, désirant faire carrière à Hollywood, cela sort  de l’ordinaire. La fabuleuse moralité de l’histoire, c’est que parti du pays en anonyme déshérité, il y revient pour être auréolé de l’insigne du Commandeur de l’Ordre national du Bénin. N’est-ce pas fantastique? 

Grâce à son franc-parler et son charisme, Hounsou  est devenu  un globe-messager de la paix. La passion a grandi démesurément, pour viser plus loin et plus haut. Demeuré fidèle à ses origines africaines , il veut donner plus d’impact à ses actions . La fondation qu’il a créée en 2019 et qui porte son nom a pour objectif, comme il le dit lui-même : «de reconnecter les peuples de la diaspora africaine, avec leur patrie et de panser les blessures laissées par l’esclavage » et puis dans la même foulée, «combattre l’exploitation des êtres humains », qui par les temps qui courent a pris des formes insoupçonnées. 

L’initiateur du Prix Bouzghiba souhaite que Djimon  persévère dans cette voie salutaire et annonce que dans le prochain tome en gestation, de grands paragraphes seront dédiés a cet engagement  exemplaire.

Il est à signaler que la bibliographie globale de Razak compte 15 ouvrages. Elle varie entre le roman, la nouvelle, la monographie  et l’essai. Quant à Razak le peintre-poète, ses deux dernières créations, mises en exergue à travers le social media ont comme titres  génériques respectifs : ’’Haïku Digi-Hybrid’Art’’ et ’’La Nature a du talent. Figuration rocheuse’’. 

 

Nota Bene : Ce communiqué sera diffusé via les web médias suivants :

Blog: Razak-cinéma

Twitter @Razak Abderazzak

Facebook: Razak Abderaz

Youtube; Bouzghiba-Awards

Youtube; Art Total

Linkedin : Razak Abderazzak  

 

 

Razak Bibliographie :

 

– « L’Homme sans ombre »

( Roman-feuilleton paru  dans le journal Libération, 1991 )

– « Au-delà de l’Artifex, je dis »

( Ed. Maxime, Montréal, CANADA, 1995 )

– Monographie « Bouzghiba-Awards » ( Tome-1 )

( Elmoutaki Printer, Mohammedia, MAROC, 2008 )

– « Bouzghiba-Awards, les vertus d’un prix transculturel » ( Tome-2 )

( Edilivre, FRANCE, 2012 )

– « Zona » (roman psychologique)

( Ed. Le Manuscrit, FRANCE, 2012 )

– « Le cinéma indien entre Nirvana et Navarasas »

( I.P.SKénitra, MAROC, 2012 )

– « Mère Gé face aux tribulations de Père Dé »

( Edilivre, FRANCE, 2012 )

– « A Voix Nue, chroniques cinématographiques »  Tome-1

( MAROC, 2014 )

– « De l’humour au Prix de mille ardeurs  »

( 3e tome de la monographie Bouzghiba-Awards,  MAROC, 2015 )

– « Navarenne » (médiations)

( Edilivre, FRANCE, 2015  )

– « Ok , on ira voir ta sœur ! » (roman de société)

( Edilivre, FRANCE, 2018  )

– « Présence des sens et de l’esprit » (Recueil de nouvelles et de textes choisis)

( Edilivre, FRANCE, 2018  )

– « De l’Art transcendantal aux Haïkus picturaux  » (livre autobiographique dont les épisodes paraissaient chaque vendredi dans la page culturelle du journal L’Opinion,

depuis  le 11 mai 2018).

– « Le Pyjama du pauvre » (roman)

( Edilivre, FRANCE, 2018  ).

        « A Voix nue,  Chroniques cinématographiques » Tome-2 

         (MAROC, 2018)

 

 

 

 

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