Saturday, February 09, 2019

La diva indienne Lata Mangeshkar remporte le 14e Prix International de l’Humour

COMMUNIQUE
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La diva indienne  LataMangeshkar
remporte le 14e Prix International de l’Humour
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Conformément aux critères de sélection et d’octroi, en vigueur depuis 2005, l’année où le Prix International de l’Humour (alias Bouzghiba-Awards)  a été fondé par  l’artiste marocain Razak, la diva  indienne LataMangeshkarremporte le quatorzième trophée de ce prix transculturel, se distinguant des autres prix lucratifs par ses deux caractéristiques fondamentales: picturale (le trophée est représenté par un tableau de peinture) et bibliographique (édition d’un livre d’apologie sur les lauréats, 3 tomes monographiques  ont été publiés sous le même label, dont un en France).
Grace à l’intermédiation de l’ambassade de l’Inde à Rabat, via son  attaché culturel Mr. Shree Kant Kumar, qui en recevant Razak le superviseur  prix, dans les règles de bienséance,   lui a donné l’adresse postale de LataMageshkar. L’envoi aéropostal du trophée a été effectué le lundi 31 décembre par le biais de Chronopost, accompagné d’un  exemplaire du tome-1 de la monographie Bouzghiba-Awards) et d’un autre exemplaire du livre « Le cinéma  indien entre Nirvana et Navarasas » qu’il a publié en 2012.
LataMangeshkar est née le 28 septembre 1929, à Indore, dans l'État du MadhyaPradesh, en Inde. Fille d’un artiste de renom (DeenanathMangeshkar), elle fut baptisée Hema à sa naissance. On la rebaptisa Lata, en hommage à une icône du théâtre.Deenanath mourut  des suites d’une maladie incurable, mais sajeune fille LataHemaà peine nubile devait chanter en public,pour subvenir aux  besoins  de sa famille.
Durant plus de six décennies,Lata  a  trôné sans partage sur lesplay-backs ciné-musicaux de Bollywood(studios de Bombay), Tollywood (langue télougou), Kollywood(langue tamoul)et Mollywood (langue malayalam). Surnommée« le rossignol de l’Inde » ou encore « la reine de la mélodie », Lata  est citée dans le Guinness Book pour le nombre le plus important d'enregistrements pour une voix. Ainsi, ne tarissant pas d’éloges envers cette diva à nulle autre pareille, AmitabhBachchan, le légendaire acteur indien a dit : « si le Taj Mahal est la septième merveille du monde, LataMangeshkar en est la huitième».
Enfin, s’il  y a une chose pour  laquelle les Indiens et les Pakistanaisoublient leurs griefs pour vibrer à l’unisson,  c'est  pour la voix de Lataji, la reine de la mélodie indienne dont beaucoup de Marocains aimentla voix angélique.  Elle avait fait duo avec les chanteurs indiens les plus chevronnés,avec à leur tête Mohammed Rafi, KishoreKumar et  UditNarayan. 
Dans le livre de Razakparu en 2012 (Le cinéma indien entre Nirvana et Navarasas) l’auteur énumère les soubassements de cette musique aux origines lointaines qui se nourritcontinuellement de « râgas »(composé des sept notes Sa, Ri, Ga , Ma , Pa, , Da, Ni ) et qui s’exalte dans les « Navarasas »,   c’est-à-dire les neufs émotions de base, énuméréespar l’auteur comme suit :Shringara (amour), Hasya (rire) , Karuna (pitié), Roudra (colère) ,Veera (courage) , Adbhuta (émerveillement) et Shantha (sérénité).
Le 14e  prix Bouzghiba-Awards  est plein d’émotions. Il coïncide avec la parution du 14e  livre de Razak. L’année 2018 restera marquée en  lettres d’or pour l’écrivain marocain, puisque comme performance livresque remarquable, il est parvenu à battre son propre record bibliographique, celui réalisé en 2012 où quatre ouvrages ont été publiés en une année. 2018 en a vu cinq : trois sortis en France et deux au Maroc. Le plus récent est le tome-2 de «A Voix Nue. Chroniques  cinématographiques». Il complète la panoplie.    


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